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Sophie Pouillon

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Mon premier appareil photo à 7 ans, j’ai très vite essayé de m’en servir au mieux.

A 30 ans, j’ai décidé d’aller au-delà de la photo familiale, j’ai adhéré au club Versailles Images où j’ai appris à tirer les photos d’après diapositives sur papier super brillant Fuji. Je vous épargnerai mes différentes actions au service de la photographie que ce soit à la Fédération, dans les clubs ou au niveau international avec Image Sans Frontière.

 

La photographie c’est écrire avec la lumière. Je vois la vie en couleur, j’aime ce qui bouge, le reportage, transmettre aux autres, tout ce qui me touche que ce soit la beauté, l’inattendu, l’insolite… Ce qui compte c’est l’impression que le spectateur reçoit en découvrant les clichés. Je ne sais pas faire des photos intimistes trop personnelles.

 

J’aime particulièrement travailler en mode exposition. Deux thèmes pour des expositions personnelles : l’Egypte, grâce à l’appui d’une association qui a travaillé le sujet, et les indiens d’Amérique du Nord à travers les Powow, danses traditionnelles.

J’ai participé à des expositions collectives sur différents thèmes : la danse, l’aviation avec le B17, … Quand je crée une exposition, je souhaite non seulement montrer des images, mais aussi les mettre en valeur, recréer un environnement particulier : les épices et les souks avec des tissus pour l’Egypte, des objets et la musique pour les Indiens, …

Cela donne une autre dimension à l’image, elle « rentre » non seulement par la vue mais aussi par l’ouïe, l’odorat, le toucher, …

 

Mes projets : recréer une exposition sur les Indiens à Bergerac (fin de l’année), travailler en studio avec des modèles et sur des natures mortes, maîtriser mon boitier un Nikon D 800, …

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